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Paroisse Notre-Dame du Doux-Berquin
6 septembre 2014

Patrimoine-chap ND Trinité-SB

La chapelle Notre Dame de la Trinité - SEC-BOIS

2014-09-11 chap ND Trinité SB (2) Elle est située au hameau de SEC-BOIS - commune de VIEUX-BERQUIN (Nord) - rue du Brouck Straete - à 800 mètres du centre du bourg - en direction d'HAZEBROUCK sur la D 53 - 2ème route à droite

 

Statue dans l'église de SEC-BOIS

 

Vitrail de l'église de SEC-BOIS

 

 

 

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6 septembre 2014

Patrimoine-chap Ste Apolline-SB

La chapelle Sainte Apolline - SEC-BOIS

2014-09-11 chap Ste Apolline SB (2)Elle est située au hameau de SEC-BOIS - commune de VIEUX-BERQUIN (Nord) - rue de la grande Marquette à 1,4 km du centre du bourg - en direction d'HAZEBROUCK sur la D 53 - 3ème route à droite

Sainte Apolline

2014-09-11 chap Ste Apolline SB (3)Le récit du martyre d'Apolline est tiré d'une lettre de Denys, évêque d'Alexandrie à Fabien, évêque d'Antioche.

En 250, l'empereur Dèce promulgua un édit obligeant tous les citoyens à sacrifier aux dieux pour la sauvegarde de l'Empire, sous peine de mort, édit qui marque le début d'une nouvelle période de persécution contre les chrétiens.

À Alexandrie comme ailleurs, les païens purent impunément donner la chasse aux chrétiens et les tuer comme ils voulaient. Les autorités laissaient faire, et même approuvaient.

Apolline fut une de leurs victimes. Elle n'était plus jeune et faisait partie d'un groupe de vierges consacrées. Après lui avoir fracassé la mâchoire et brisé toutes les dents, ils la mirent devant un bûcher, menaçant de l'y jeter, si elle ne répétait pas des injures au Christ après eux. Elle s'excusa poliment de ne pouvoir leur donner satisfaction ; puis, profitant de leur distraction, « plus prompte que ses bourreaux », dit saint Augustin dans un sermon, elle courut se jeter dans les flammes.

 vitrail Ste Apolline-église de SEC-BOISSainte Apolline est morte à Alexandrie en 249, elle est fêtée le 9 février.

On la représente souvent avec une paire de tenailles, et parfois les dents qui lui furent arrachées, ainsi qu'avec la palme du martyre. Elle est la patronne des dentistes et est invoquée contre les maux de dents.

 

 

 

6 septembre 2014

Patrimoine-chap ND de bon secours-SB

La chapelle Notre-Dame de bon secours - SEC-BOIS

2014-09-11 chap ND bon secours SB (1)Elle est située au hameau de SEC-BOIS - commune de VIEUX-BERQUIN (Nord) - rue de l'Alger.

Elle existait déjà en 1890 lorsque le grand père d'un riverain acheta la maison et le terrain.

Cette chapelle a fait l'objet, de la part de ses propriétaires, d'une très belle restauration aussi bien extérieure qu'intérieure.

6 septembre 2014

Patrimoine-église St Charles Borromée-SB

L'église Saint Charles Borromée - SEC-BOIS 6450664505 - Copie2014-11-09 église St Charles Borromée SB (2) - Copie2014-11-09 église St Charles Borromée SB (3)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 2014-11-09 église St Charles Borromée SB (1) - CopieSaint Charles Borromée

Charles Borromée  naquit dans une famille de la haute aristocratie lombarde. Sa mère était la sœur de Giovanni Angelo de Médicis, qui fut pape sous le nom de Pie IV de 1559 à 1565. A l'âge de 12 ans, il reçut la tonsure et le bénéfice de l'abbaye bénédictine d'Arona, laissée vacante par son oncle. Quand son père mourut en 1558, il dut prendre en main les affaires de sa famille. L'année suivante, son oncle maternel fut élu pape à la mort de Paul IV.

En 1561, il fut promu cardinal secrétaire d'Etat à l'âge de 23 ans, puis légat apostolique à Bologne, en Romagne et dans les Marches. Il participa au consile de Trente, s'attachant à réformer les abus qui s'étaient introduits dans l'Église, et fit rédiger le célèbre catéchisme connu sous le nom de catéchisme du consile de Trente (1566). Il réforma également la chapelle musicale vaticane, et prescrivit qu'on cherchât à obtenir l'intelligibilité des paroles et une musique en rapport avec le texte chanté. La polyphonie chorale s'en trouva transformée, dans tous les pays d'influence vaticane.

Il a pris une part active et prépondérante à l'élaboration de la discipline hospitalière au Concile de Trente. Rentré dans son diocèse de Milan, il visite ses paroisses, tient des synodes, réunit des conciles provinciaux : ce qui est indiqué à grands traits dans les décrets de Trente se trouve fixé dans le plus petit détail dans les ordonnances de Borromée et avec une perspicacité de ce qui était nécessaire et réalisable qui souleva l'admiration générale. Nommé archevêque de Milan en 1564, il se démit de toutes ses autres charges pour aller résider dans son diocèse ; il y donna l'exemple de toutes les vertus et rétablit partout la discipline. Ce beau diocèse était alors dans une désorganisation complète : peuple, clergé, cloîtres, tout était à renouveler. Le pontife se mit à l’œuvre, mais donna d’abord l’exemple. Il mena dans son palais la vie d’un anachorète ; il en vint à ne prendre que du pain et de l’eau, une seule fois le jour ; ses austérités atteignirent une telle proportion, que le Pape dut exiger de sa part plus de modération dans la pénitence.

Il vendit ses meubles précieux, se débarrassa de ses pompeux ornements, employa tout ce qu’il avait de revenus à l’entretien des séminaires, des hôpitaux, des écoles, et au soulagement des pauvres honteux et des mendiants. Son personnel était soumis à une règle sévère ; les heures de prières étaient marquées, et personne ne s’absentait alors sans permission. Les prêtres de son entourage, soumis à une discipline encore plus stricte, formaient une véritable communauté, qui donna à l’Église un cardinal et plus de vingt évêques.

Il s'employa à y appliquer les mesures de la Contre-réforme prises au concile. Tout d'abord, il prit sa résidence à Milan et ouvrit un séminaire pour améliorer la formation du clergé. Il restaura l'observance de la règle dans les couvents et fit fixer des grilles aux parloirs. Bientôt, il étendit le théâtre de son action à toute l'Italie, puis à la Suisse.

Un des ordres qu'il voulait réformer, l'ordre des Humiliés, tenta de le faire assassiner, mais il échappa aux coups de l'assassin. Lors de la peste qui désola Milan en 1576, il accourut dans cette ville du fond de son diocèse, et bravant la contagion, porta partout des secours et des consolations. Il fonda en 1581 une congrégation d'oblats, prêtres séculiers qui seront ensuite connus sous le nom d'« Oblats de saint Charles ». Il mourut en 1584, à 46 ans, épuisé par les fatigues et les austérités. Il s'opéra des guérisons miraculeuses sur son tombeau.

Il a été canonisé dès le 1er novembre 1610 par Paul V. C'est l'un des seuls saints à avoir eu sa canonisation un an seulement après sa béatification. Il est fêté le 4 novembre.

Notre Dame de la Trinité

2014-09-20-église St Charles Borromée SB (2) - Copie

2014-09-20-église St Charles Boromée SB (1) - Copie

 

 

 

IMAGE23

5 septembre 2014

Patrimoine-calv rue de l'Haut-Blé-NB

Le calvaire de la rue de l'Haut-Blé - NEUF-BERQUIN

2014-09-06-calv rue haut-blé (1)Il est situé à NEUF-BERQUIN (Nord) - rue de l'Haut-blé

2014-09-06-calv rue haut-blé (2)Le commentaire ci-dessous est extrait du document intitulé "Rallye des Calvaires - Chapelles et Monuments" rédigé par Mme Ghislaine SÉNÉCHAL BREUVART dans les années 1995-1996.

Calvaire élevé en souvenir de Jean Baptiste BACLET et Adèline LEROUX, anciens cultivateurs. En 1893, le calvaire existait déjà. La croix était en bois et le corps du Christ était également taillé dans du bois.

Abattu par la guerre en 1918, ce calvaire ne fit l'objet d'aucune demande de dommages de guerre. Ce fut Monsieur Eugène CORTYL, propriétaire de La ferme, docteur en droit membre du comité Flamand de France qui le fit rebâtir en 1923 en bois, avec le Christ d'origine. Mais les intempéries et les séquelles des années de guerre avaient atteint le bois...  Lors d'un orage en 1961, le calvaire fut abattu. Le nouveau propriétaire Louis CORTYL le fit reconstruire, mais en pierre.

Ce nouveau calvaire fut béni en 1962 sous la présidence de Monsieur le Doyen HUYGHE de Merville, notre curé étant alors l'Abbé LEMAHIEU.

coordonnées GPS : 50.674922 / 2.672980 ou N = 50° 40' 29.719" E = 2° 40' 22.728"

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5 septembre 2014

Patrimoine-calv Pont Rondin-NB

Le calvaire du Pont Rondin -NEUF-BERQUIN

2014-09-02-calv Pont Rondin

Il est situé à NEUF-BERQUIN (Nord) - route de VIEUX-BERQUIN

Le commentaire ci-dessous est extrait du document intitulé "Rallye des Calvaires - Chapelles et Monuments" rédigé par Mme Ghislaine SÉNÉCHAL BREUVART dans les années 1995-1996.

Jean François LEFEBVRE, au 19ème sièc1e, faisait du "LIT-AVANT" dans son champ. C'était une manière de bêcher la terre sur deux profondeurs de fer de bêche, le premier que l'on mettait au fond et le deuxième que l'on mettait au-dessus. Donc en bêchant, il ressentit une douleur violente dans les reins. Quelques jours plus tard, son mal ne s'améliorant pas il prit sa bêche, emmena sa femme, découpa une motte de terre et dit à sa femme: "enlève cette motte, je veux qu'à cet endroit l'on construise un calvaire". Puis il contacta un dénommé "DESSE" habitant rue de Caudescure à Merville  pour qu'il commence à sculpter un Christ de bois. Mais Jean-François mourut avant que 1e Christ soit achevé. Le fils de Jean-François reprit alors les terres et sa mère Mélanie ROUSSEL lui rappela le vœux de son père. Alors le fils, le soir filait et tissait le lin pour acquérir de quoi payer le calvaire.

Ce calvaire fut détruit par la guerre en 1914. La famille PATTOU LEFEVFRE reçut 2000 francs de dommages de Guerre et put ainsi reconstruire le calvaire.

coordonnées GPS 50.673200 / 2.657872 ou N = 50° 40' 23.62" / E = 2° 39' 28.339"

5 septembre 2014

Patrimoine-chap Saint Liévin-NB

La chapelle Saint Liévin - NEUF-BERQUIN

 2014-09-06 chap St Liévin (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle est située à NEUF-BERQUIN (Nord) - rue de Cassel - à gauche en direction de VIEUX-BERQUIN

Le commentaire ci-dessous est extrait du document intitulé "Rallye des Calvaires - Chapelles et Monuments" rédigé par Mme Ghislaine SÉNÉCHAL BREUVART dans les années 1995-1996.

Saint Liévin naquit en Irlande vers 58O. Dieu récompensa sa piété angélique en lui accordant le don des miracles dès son jeune âge. Elevé à l'honneur de l'épiscopat, il remplit pendant plus de trente ans tous les devoirs d'un bon pasteur. Dieu lui demanda de quitter sa patrie et de devenir missionnaire, il obéit sans hésiter, vint évangéliser le Boulonnais, séjourna 4 ans à Merck-Saint-Liévin, alla annoncer l'évangile en Zélande, puis dans les environs de Gand, où il fut martyrisé, probablement à ESCHEN (Belgique) le 12 novembre 657. Son corps est vénéré à Gand dont Saint Liévin est le patron. Chez nous il est honoré spécialement à Merck-Saint-Liévin le 12 novembre, jour de sa mort et le 28 juin jour où il fut canonisé, les pèlerins viennent lui demander la conservation de leur vie, la réussite dans leurs affaires et surtout la grâce d'une bonne mort. Nos anciens de Neuf-Berquin et des environs allaient "servir Saint Liévin" le 1er dimanche de juillet (lors de la neuvaine) à Merck-Saint-Liévin, (50km) un peu moins par les voyettes ; d'abord à pieds, puis à vélo, certains en train, puis ce fut en auto, pour d'après ce qu'ils nous ont dit "racheter leur vie" car, est-ce vérité ou légende, Saint Liévin aurait, au cours de son existence, sauvé la vie d'un homme 3 fois. Sans doute est-ce à cause de cette dévotion que 1a famille HUGUE fit bâtir cette chapelle, mais nous en ignorons la date. Elle fut rénovée vers 1990.

 

5 septembre 2014

Patrimoine-histoire église St Gilles-NB

L'Histoire de l'église Saint Gilles - NEUF-BERQUIN

avant la guerre 1914-1918

01-église 16ème

02-église fin 19ème

 

 

photo de gauche l'église Saint Gilles au 16ème siècle

photo de droite l'église Saint Gilles fin 19ème siècle

cliquer sur les photos pour agrandir

 

  pendant la guerre 1914-1918

03a-église pendant 14-18

03b-église fin 14-18

photo de gauche l'église Saint Gilles pendant la guerre 1914-1918

photo de droite l'église Saint Gilles en 1918

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après la guerre 1914-1918

 04-église reconstruction en 24

05-église reconstruite après 14-18photo de gauche l'église Saint Gilles en reconstruction

photo de droite l'église Saint Gilles reconstruite en 1928

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 église provisoire

photo de l'église provisoire

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17 juin 1928

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

après la guerre 39-45

recontruction de l'église

Elle débuta le lundi 22 mars 1948 (lundi de la semaine sainte) pour se terminer (si l'on en croit le "cahier minute" du chantier de la reconstruction) le vendredi 27 avril 1951, l'avant veille de la bénédiction qui sera présidée par son Eminence le Cardinal LIENART.

cliquer sur les photos pour agrandir

église reconstruction après 39-45 (1)

 

église reconstruction après 39-45 (2)

 

église reconstruction après 39-45 (3)

 

église reconstruction après 39-45 (5)

 

invitation

kermesse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

bénédiction du 29 avril 1951 avec commentaires

nouvel autel

 

 

5 septembre 2014

Patrimoine-église St Gilles-NB

Eglise Saint Gilles - NEUF-BERQUIN

64476 64480Vitrail de St Gilles

Statue de St Gilles

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Saint Gilles est représenté souvent par une biche, une main et une flèche car selon une légende du X° siècle, une biche poursuivie par des chasseurs du roi légendaire Flavius, se réfugie dans une grotte et vient se coucher à ses pieds. La main du saint en prière est transpercée par la flèche d'un chasseur. Le roi Flavius exprime ses excuses au saint et demande à faire pardonner la méprise de ses chasseurs. C'est alors que le moine le persuade de fonder un  monastère en un lieu qu'il a choisi pour son tombeau. Ainsi est construite l'abbaye de Saint Gilles du Gard.

 

St Gilles gravureSelon les traditions, c'est vers le milieu du VII° siècle, à Athènes que naquit Saint Gilles. Très vite il s'illustre par des miracles mais fuit sa renommée et aborde en Provence. Il se rend d'abord à Rome avant de se retirer dans une forêt non loin de Nimes à Collias, près du cours du Gard, à l'endroit ou existe toujours un modeste ermitage. Il est chaleureusement accueilli à Arles, puis au bord du Gardon par saint Vérédéme. Devenu abbé, saint Gilles conseille les plus grands, papes et rois. Une légende indique qu'un grand personnage  lui avait demandé l'absolution  pour un très grand péché. Alors que saint Gilles célébrait la messe, un ange plaça sur l'autel un parchemin où était consignée la faute. Au fur et à mesure du déroulement de l'office les traces écrites du péché s'éffacérent du parchemin.

C'est près de l'église de son ermitage dédiée aux saints Piere et Paul, que mourut Saint Gilles le 1er septembre 720 ou 721, il est donc fêté le 1er septembre pour commémorer la montée de son âme pure au ciel. Il a son tombeau dans la crypte de l'abbatiale de la ville de Saint Gilles du Gard.

Saint Gilles l'ermite a connu un culte médiéval extrêmement populaire. Saint patron des estropiés, des mendiants et forgerons, il est qualifié de saint intercesseur dans le domaine de l'épilespsie, la folie, la stérilité et la possession démonique. Il est aussi invoqué contre le cancer, contre les peurs enfantines, les convulsions, les dépressions.

 

 

 Cantique à St Gilles

Ce cantique était chanté lors du triduum de prières à Saint Gilles, le premier week-end de septembre qui est également celui de la ducasse de la commune.

écouter la mélodie (format mp3)

 

 

 

 

 

 

 

 

En savoir plus sur l'histoire de l'église Saint Gilles

 

 

 

 

 

 

 

5 septembre 2014

Patrimoine-chap Ste Thérèse enf.Jésus-NB

La chapelle Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus - NEUF-BERQUIN

2014-09-06-chap Ste Thérèse enfant Jésus-NB (2)2014-09-06-chap Ste Thérèse enfant Jésus-NB (3)

 

 

Elle est située à NEUF-BERQUIN (Nord) - rue du moulin. A partir du centre du bourg, direction VIEUX-BERQUIN, prendre la deuxième route à gauche (rue de la Vierouck) puis à gauche la rue du moulin.

Le commentaire ci-dessous est extrait du document intitulé "Rallye des Calvaires - Chapelles et Monuments" rédigé par Mme Ghislaine SÉNÉCHAL BREUVART dans les années 1995-1996.

Cette chapelle située 5 rue du Moulin fut construite vers 1922 par la famille Julien et Marie PETITPREZ JOURDAIN en remerciement pour la protection reçue par cette famille lors de la guerre 1914-1918. (note de la rédaction : aucun membre de la famille n'ayant été tué lors de cette guerre)

Aujourd'hui c'est la famille JOURDAIN PETITPREZ qui en assure l'entretien malgré quelques aléas suite à des détériorations et des vols.

D'abord la statue ayant été cassée fut remplacée et la chapelle restaurée fut bénie en octobre 1982 par l' Abbé André DELESALLE. Mais depuis hélas, les pilleurs de chapelles, amateurs d'antiquités sont passés emportant la statue ainsi qu'un chandelier, ils n'ont pu prendre le deuxième ayant été dérangés, ils sont pourtant revenus pour le récupérer mais la famille prévoyante l'avait enlevé. Pour le moment, en attendant mieux, une petite statue est venue remplacer la statue volée.

La porte a été remplacée récemment et cette chapelle est dans un état de conservation remarquable grâce au "gardiennage" de Madame Cécile JOURDAIN PETITPREZ, qui en assure également un parfait entretien.

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